La FVA asbl vole au secours de l’hôpital de Kavumu-karanda

Le samedi 4 juillet, la délégation de la fondation vision d’aigle s’est rendue dans cet établissement sanitaire situé à environ 32 kilomètres au nord de la ville de Bukavu. La raison ? Apporter son secours, aussi bien aux malades qu’à l’hôpital en difficulté de fonctionnement dans une certaine mesure.

Selon la coordinatrice nationale de la FVA, madame Nancy CIRHUZA, cette visite vise à compatir avec les patients en situation de vulnérabilité, y compris les femmes qui venaient d’accoucher.

En outre, le séjour dans cette entité du territoire de kabare, dans la zone de santé de MITI-MURESA répond quelque peu à la doléance de l’hôpital qui fait face aux difficultés de tous ordres, à en croire Dr KOKO Patient, médecin directeur.

A cette occasion, la FVA a remis une dizaine des lits, des sacs de riz, de haricot et des bidons d’huile. Cela vient soulager, tant peu soit-il, la souffrance qu’endure le personnel de cet hôpital de l’Etat, opérationnel sans appui extérieur.

D’après les informations fournies par le médecin directeur, il y avait un déficit criant en matelas, dont plusieurs étaient déjà usés sur l’ensemble de 102 lits que compte cet hôpital. Pire, une grave famine tenaillait les malades ne sachant pas à quel saint se vouer, avant l’aide humanitaire de la FVA asbl qu’ils jugent salutaire.

Cette intervention a provoqué une allégresse dans le chef des bénéficiaires dans cette structure sanitaire qui dessert une entité d’environ 138 mille habitants.

Le moment a été propice pour l’équipe de cette organisation humanitaire de sensibiliser le public sur la pandémie de covid-19 et les mesures barrières à observer, notamment le lavage des mains, la distanciation physique d’un mètre, et ainsi de suite. Et ce, avant de remettre un kit de prévention constitué des cache-nez, des savons liquides, des bouteilles de gel hydro alcoolique, des serviettes et un lave-mains ‘’zéro contamination’’ .

A cette occasion, la FVA a remis une dizaine des lits, des sacs de riz, de haricot et des bidons d’huile. Cela vient soulager, tant peu soit-il, la souffrance qu’endure le personnel de cet hôpital de l’Etat, opérationnel sans appui extérieur.

Le moment a été propice pour l’équipe de cette organisation humanitaire de sensibiliser le public sur la pandémie de covid-19 et les mesures barrières à observer, notamment le lavage des mains, la distanciation physique d’un mètre, et ainsi de suite. Et ce, avant de remettre un kit de prévention constitué des cache-nez, des savons liquides, des bouteilles de gel hydro alcoolique, des serviettes et un lave-mains ‘’zéro contamination’’ .

La cérémonie s’est déroulée dans l’enceinte de l’hôpital devant un parterre de malades et le personnel soignant. Apres, une visite guidée a eu dans quelques blocs de cette institution sanitaire, essentiellement à la maternité.

Elle a été rehaussé de la présence du PCA de la fondation, Didier BABIA AGAMANA, ses adjoints, madame Coralie ASSELI KASI représentée à la manifestation, Henri TSHIMBALANGA et la coordinatrice nationale, madame Nancy CIRHUZA en compagnie d’autres agents.

A l’hôpital militaire de Bukavu, la FVA sensibilise sur le coronavirus en ce e jour de commémoration de la soixantième anniversaire de l’indépendance de la RDC

En marge de cette journée fériée sur toute l’étendue du pays, le 30 juin, la fondation Vision d’aigle a eu à conscientiser les militaires, les malades et le personnel soignant de cet établissement sanitaire sur ce sujet.

Dans ses propos, la coordinatrice de la FVA, Nancy CIRHUZA a fait comprendre à l’assistance que le covid-19 est une maladie ravageuse. Elle tue des milliers de personnes en Italie, en France, aux USA et ailleurs dans le monde. En RDC, le tableau est sombre à cause des morts d’hommes à Kinshasa, au Sud-Kivu et ailleurs sur le territoire national où la flambée des cas positifs continue à s’enregistrer.

La coordinatrice Nancy CIRHUZA a rappelé aux uns et aux autres les mesures barrières contre le covid-19. C’est, entre autres, la distanciation sociale d’un mètre, le lavage des mains, le port de masque et ainsi de suite.

La fondation Vision d’aigle a remis un lot important des cache-nez, des bouteilles de gel hydro alcoolique et un dispositif de lavage des mains ‘’zéro contamination ou made in Bukavu’’. Ce lave-mains mécanique a été fabriqué par le centre d’apprentissage des métiers, CAM en collaboration avec la FVA asbl.

A ce moment, une démonstration sur le lavage approprié des mains a été faite.

Il est à noter que cette séance de sensibilisation a eu lieu à l’hôpital militaire régional de référence de Bukavu en l’occasion d’une cérémonie présidée par madame Coralie ASSELI KASI, haut cadre du conseil d’administration de la FVA en compagnie d’autres membres du staff. Cette activité s’est déroulée dans l’observance d’une distance d’un mètre.

La FVA asbl remet des vivres et non vivres à l’hôpital militaire régional de référence au cours d’une visite de Visite de réconfort

C’est ce mardi 30 juin, journée consacrée au soixantième anniversaire de l’indépendance que la fondation Vision d’aigle, FVA asbl a pu apporter ce don.

A en croire la deuxième vice-présidente du conseil d’administration de cette structure, Madame Coralie ASSELI KASI, cette donation vient répondre, tant soi peu, aux besoins des malades, compris, essentiellement, des blessés de guerre à la suite d’affrontements survenus dans les hauts et moyens plateaux de Minembwe, en territoire de FIZI.

A cet effet, la fondation a remis des vivres, notamment des sacs de riz, de haricot et des bidons d’huile. A cela, s’est ajouté un lot des matelas pour les lits des malades dans cet hôpital d’une capacité d’accueil de trente-deux patients, a affirmé le médecin directeur de l’hôpital, Dr Médard MBOMA KIBIA.

Au cours de la cérémonie de remise de ce don, madame Coralie ASSELI KASI a tenu, après une visite guidée de l’hôpital, d’encourager les militaires pour leur bravoure à défendre le territoire national, et dans le cas d’espèce, le Sud-Kivu confronté à des crises sécuritaires çà et là. Elle les a exhortés de continuer à consentir des sacrifices pour restaurer la sécurité en province que le gouverneur Theo NGWABIDJE voudrait transformer en oasis de paix. 

Pour l’occasion, Dr MBOMA a laissé entendre que sa structure sanitaire se bute aux défis de prise en charge adéquate des malades. C’est pourquoi, il a déposé entre les bonnes mains de madame Coralie KASI l’état des besoins y relatif. Sans des promesses pompeuses, celle-ci déclare ne rien promettre à part son sacré devoir de confier à qui de droit cette liste des besoins qu’affiche l’hôpital militaire, jadis appelé FAC.

Les bénéficiaires ont loué cette bonne action de la FVA tout en souhaitant qu’elle ait davantage à donner dans l’avenir.

Signalons que cette cérémonie a été rehaussée également de la présence du commandant de la 33eme région militaire, le général Akili MUHINDO MUNDOS, le PCA de la FVA asbl Didier BABIA, son adjoint Henri TSHIMBALANGA, la coordinatrice, Nancy CIRHUZA et consorts.

La FVA appelle à ne pas relâcher les efforts de prévention

Depuis quelques jours, le Sud-Kivu fait face à une montée exponentielle de coronavirus, soit avec plus de 80 cas positifs. A Kinshasa, l’épicentre de la maladie, les chiffres ne cessent de accroître au jour le jour jusqu’à dépasser la barre de 4 mille cas des personnes malades et environ cent décès.

La Fondation Vision d’aigle, première organisation non gouvernementale à s’activer dans la lutte contre le covid-19 au Sud-Kivu attire l’attention de la population sur l’urgence de se mobiliser comme un seul homme pour vaincre ce virus.

Le covid-19 est un problème de santé réel, et non une maladie fabriquée de toutes pièces par les autorités congolaises comme d’aucuns le croient et le disent à tort dans la ville de Bukavu.

Tenez : A l’échelle mondiale, 188 pays sont touchés par la pandémie, plus de 7 millions de personnes en sont atteintes, plus de trois millions de personnes sont guéries. A chacun d’y réfléchir !

Devant l’avancée fulgurante de cette maladie déclarée le 10 mars 2020 en RDC, la fondation vision d’aigle, FVA asbl demande aux compatriotes du Sud-Kivu d’observer des mesures barrières qui, effectivement, contribuent à stopper la propagation de la pandémie. C’est, notamment, se laver fréquemment les mains, maintenir une distance d’au moins 1 mètre avec d’autres personnes, éviter de se toucher les yeux, la bouche et le nez, porter le cache-nez, éternuer ou tousser dans le pli de son coude et consorts.

La FVA pleinement engagée dans cette bataille contre le coronavirus encourage le gouverneur de province, Theo NGWABIDJE avec son équipe de riposte qui a réussi à décharger vingt patients.

Par ailleurs, la FVA loue l’initiative de la Pharmakina Bukavu pour la production de l’hydroxycloroquine, un médicament qui vient booster la prise en charge des dizaines de cas positifs au Sud-Kivu, voire des milliers au pays.

Cette organisation humanitaire invite toute la communauté à adopter des gestes de bon sens dans le transport en commun, aux cérémonies de deuil et ainsi de suite. C’est à cette condition que le coronavirus sera neutralisé en province.

Parce que le coronavirus ne s’arrête pas, ne nous arrêtons pas non plus à suivre les mesures barrières. Ensemble, nous pouvons le terrasser !

Pour la Fondation Vision d’aigle, FVA asbl,

NANCY CIRHUZA, coordinatrice nationale & Monsieur Didier AGAMANA, PCA

 

FVA et l’ONG les Ailes du Cœurs sensibilisent sur l’hygiène menstruelle

En marge de la journée mondiale de l’hygiène menstruelle commémorée le 28 mai 2020, la fondation vision d’aigle a animé son émission ‘’FVA HEBDO’’ sur ce sujet. L’objectif étant de rompre le silence qui plane sur la question de la menstruation. L’émission a été produite au bureau de la fondation qui a accueilli autour du micro les spécialistes en santé sexuelle et reproductive avec des jeunes.

Les invités ont mis l’accent sur les astuces à respecter pour assurer une bonne hygiène pendant cette période importante chez les femmes et les jeunes filles.

Dr. MISENGA Jean Jules, spécialiste de la santé-nutrition et Wash au sein de l’ONG FVA a eu à se prononcer à ce sujet en disant :

« L’hygiène menstruelle doit être prise au sérieux parce qu’en se lavant convenablement autant de fois par jour selon l’abondance de l’écoulement du sang, on se sentira dans un état de bien-être, c’est aussi pour la santé de la fille ou de la femme. Plus on a une mauvaise hygiène, plus il y a risque de développer certaines infections« .

Marie Marthe de Swiss TPH, spécialiste en santé sexuelle et reproductive a conseillé aux jeunes filles de pouvoir veiller au bain intime à l’eau propre sans des produits nocifs, à l’exemple du savon, du gel et autres. En plus, elle les invite à prendre soin de leurs serviettes ou linges au cours de ce processus de saignement menstruel.

Intervenant dans cette émission, l’adolescente Daniella BYAMUNGU a partagé son témoignage sur sa façon de gérer son hygiène menstruelle depuis sa ménarche ou la première de ses règles:

 » La première fois de ma menstruation, j’étais déjà bien informée parce que ma mère m’en avait parlée. Elle m’avait donné des linges que j’utilise très bien, je les lessive, je les trempe pour enlever les taches résistantes. Elle m’avait acheté aussi un sot pour éviter que je ne mélange mes linges avec d’autres, et jusqu’ aujourd’hui, je fais la même chose, surtout que je les change tant que c’est nécessaire ».

A cet effet, Marie-Marthe et Dr Misenga Jean Jules exhortent les parents à parler dès le bas âge, dans la fourchette de 8 à 13 ans, de la menstruation à leurs enfants pour éviter que cette expérience physiologique ne soit dégoutante.

De son coté, Thérèse Iragi CIBANGU, chargée des programmes à l’ONG ‘’Les ailes du cœur’’ a fustigé le silence qui entoure la menstruation dans des familles :

« Dans nos familles, la question liée au sexe est comme un tabou. Les parents ne sont pas vraiment à l’aise d’en discuter avec les enfants pour leur permettre d’appréhender l’utilité de prendre soin de leurs corps ou de leur sexualité’’.

Pour cette raison, elle demande aux garçons de ne pas stigmatiser les filles en période des menstruations, mais plutôt, ils peuvent leur apporter un coup de main vu des signes de faiblesse que provoque cette manifestation physiologique. Cela est un processus de maturation tout à fait normal, dit-elle.

L’épouse du gouverneur se dit touchée par la vie des femmes des militaires au camp SAIO

Elle l’a déclaré à l’issue de sa visite effectuée sur le lieu avec la fondation vision d’aigle pour laquelle elle est engagée en tant que membre d’honneur. Son passage sur ce site militaire a été un réconfort.

Incontestablement, Coralie KASI contribue à faire avancer cette fondation en son nom propre, et sous la bénédiction de son cher époux qui le lui autorise, non sans raisons valables.

Une chose est sure : La FVA asbl s’inscrit dans la droite ligne des objectifs de développement de la province du Sud-Kivu que prône, inlassablement, le chef de l’exécutif, Theo NGWABIDJE.

Présente au camp SAIO, elle a été intéressée par le volet éducation scolaire des enfants qui étudient dans des conditions inextricables, à en croire les parents interrogés.

En outre, la question sociale des femmes des militaires a essentiellement attiré l’attention de l’épouse du gouverneur accompagnée par la délégation de la FVA.

Elle s’est voulue soucieuse d’offrir la chance à ces femmes d’améliorer leur social.  

 « Je suis particulièrement touchée par la vie de femmes de nos vaillants militaires. Je pense que notre association pourra entrer en contact avec nos partenaires de bonne foi pour faire quelque chose en leur faveur. Nous misons sur des activités génératrices des revenus pour les rendre capables de se prendre en charge et s’occuper convenablement de leurs enfants ».

L’hôte de ce jour au camp militaire SAIO estime qu’en facilitant l’autonomisation économique des femmes, elles sauront soutenir leurs maris qui, pour la plupart, ont vaillamment servi sous le drapeau, mais aujourd’hui, sont des blessés de guerre ou des vétérans. Il en va également du salut de ces veuves et filles mères qui émettent promptement le vœu d’avoir un ‘’foyer social’’ au sein du camp.

Une demande entendue de bonne oreille par la FVA asbl qui attend poser des actions dans ce sens dans les jours à venir.

Soulignons que dans cette délégation, il a été remarqué la présence du président du conseil d’administration de la Fondation, Didier Babia AGAMANA, de son adjoint, Henri Tshimbalanga MATAMBA, de la coordinatrice nationale, Nancy CIRHUZA, du chargé du département de l’éducation ,jeunesse et métiers, Elie NGOY avec d’autres cadres de l’organisation.

South Kivu Province Governor’s spouse with Foundation Vision d’Aigle on a visit to military camp SAIO in Bukavu

Conducted on Saturday May 23rd, the visit was highlighted by the presence of the wife of South Kivu Governor, Mrs. Coralie KASI. About an hour of tour in this military camp was enough for the Vision d’Aigle Fondation delegation to understand a few social-educational realities to improve.
Coralie KASI, an honorary member of the FVA Management Board, spent most of her time the last weekend afternoon visiting Camp SAIO primary school, which also hosts the secondary school facilities.

School in poor condition

A school bloc testifying the poor conditions of the facilities

Her keen interest in this school finds explanation, no doubt, reasonable from the status in which this school was found, largely dilapidated, sadly giving the image of an abandoned building to its sad fate.

For the governor’s wife, everything suggests that it is more than necessary to build this school. Without saying anything more, she believes that this school deserves to be rehabilitated provided that it « promotes social cohesion between the children of soldiers and those of civilians in the neighborhoods surrounding the camp. »

According to the interim prefect of this educational institution, Tabena Mwami, the children study in rather poor conditions. As part of difficulties, he cited the small size of the classrooms which accommodate, each more than one hundred pupils in primary school. Schoolchildren piled up in class, and many sit on the ground learning the lessons, « testify some parents of pupils amazed by this visit. According to our sources, this school has more than a thousand elementary students divided into fifteen classrooms crowded with learners.

Hope in perspective

The delegation visiting one of classrooms that are getting rehabilitated

The governor’s wife with the entire team of the FVA asbl have listened grievances from the service of civic education and social action, SECAS, a service within the 33rd military region, which wishes to see this school rehabilitated and thus to relieve children’s difficult learning conditions. The head of this service in Bukavu, Major Richard SEMAGABO praised the good will of FVA asbl to be concerned with the construction of this school considered as a nursery for the Congolese elite of tomorrow. To close this visit, Coralie KASI refocused her message on a clear promise. « We will advocate with donors to help us make this school an appropriate place for children to learn and to interact with all the children living around the camp. » This tour in the camp with a major satisfaction from the parents living and officials of this camp. FVA asbl has recently started to rehabilitate this school thanks to the authorization of the commander of the 33rd military region, General Akili MUHINDO, also known as « MUNDOS ».

L’épouse du Gouverneur de la province du Sud-Kivu avec la Fondation vison d’Aigle en visite d’espoir au camp militaire SAIO

Cette visite du samedi 23 mai a été rehaussée de la présence de l’épouse du gouverneur du Sud-Kivu, Coralie KASI. Environ une heure de tour dans ce camp militaire a suffi à la délégation de cette fondation pour palper du doigt quelques réalités socioéducatives à améliorer.

Coralie KASI, membre d’honneur du conseil d’administration de la FVA a passé le plus clair de son temps l’après-midi de ce week-end à visiter l’école primaire Camp SAIO qui abrite également le cycle du secondaire.

Ecole en mauvais état

Son vif intérêt pour cet établissement scolaire trouve d’explication, sans doute, raisonnable au vu de l’état dans lequel se trouve cette école, en grande partie vétuste, donnant tristement l’image d’un bâtiment abandonné à son triste sort.

Pour l’épouse du gouverneur, tout porte à penser qu’il est plus que nécessaire de construire cette école. Sans en dire plus, elle croit que cette école mérite d’être réhabilitée pour autant qu’elle ‘’favorisera la cohésion sociale entre les enfants des militaires et ceux des civils dans les quartiers voisins du camp ».

Selon le préfet intérimaire de cette institution éducative, Tabena Mwami, les enfants étudient dans des conditions plutôt médiocres. Dans le lot des difficultés, il cite l’exiguïté des salles de classe qui accueillent, chacune plus de cent élèves à l’école primaire. Des écoliers entassés en classe, et beaucoup s’assoient à même le sol en suivant les leçons», témoignent quelques parents d’élèves émerveillés par cette visite. Selon nos sources, cet établissement scolaire compte plus de mille élèves au primaire reparties en quinze classes bondées d’apprenants.

Un des locaux de l’EP camp Saio en état de délabrement

Espoir en perspective

L’épouse du gouverneur avec toute l’équipe de la FVA asbl s’est imprégnée des doléances du service d’éducation civique et d’action sociale, SECAS, un service de la 33eme région militaire, qui nourrit le désir de voir cette école réhabilitée au grand soulagement des enfants en situation d’apprentissage pénible.

La délégation dans l’une de salles de classe en train d’être repeinte à travers l’aide de la FVA

Le responsable de ce service à Bukavu, le major Richard SEMAGABO a loué la bonne volonté de la FVA asbl à se préoccuper de la construction de cette école, une pépinière de l’élite congolaise de demain.

Pour clore cette visite, Coralie KASI a recentré son message sur une promesse claire et nette.

« Nous allons faire un plaidoyer auprès des donateurs afin qu’ils nous aident à faire de cette école un cadre approprié d’apprentissage pour les enfants et de convivialité avec tous les enfants du milieu environnant le camp ».

Cette tournée dans le camp s’est terminée sur une note de satisfaction générale des parents et responsables de ce camp. A noter que la FVA asbl a commencé depuis peu à réhabiliter cette école grâce à l’autorisation du commandant de la 33eme région militaire, le général Akili MUHINDO, dit ‘’MUNDOS’’

Revue sur l’éducation, les métiers et la recherche avec les jeunes congolais pour un Congo fort

Ce petit document résume la problématique du secteur éducationnel/professionnalisation en RDC et décrit les effort que la fondation est en train d’entreprendre dans le domaine. Cette revue est un appel aux différents acteurs à contribuer aux efforts du gouvernement de la RDC dans la perspective d’amélioration effective et durable du secteur. Télécharger la revue